Mama Finger – Wendall Utroi

𝙈𝙖𝙢𝙖 𝙁𝙞𝙣𝙜𝙚𝙧: 𝙪𝙣 𝙧𝙤𝙢𝙖𝙣 𝙩𝙤𝙪𝙩-𝙚𝙣-𝙪𝙣.

Une narration « en parallèle » qui joue parfaitement sa partition dans le maintien du suspense… Une plume qui repeint vos émotions de toutes les couleurs et teintes de l’arc-en-ciel… Des émotions qui vous collent à la peau… Pour le meilleur et pour le pire!

Qui suis-je pour juger un livre et le recommander ou non? Je ne suis qu’une lectrice très émotionnelle qui trouve son bonheur dans l’immersion totale de ce qu’elle lit. Et quand j’ai la chance de tomber sur ce genre de travail poussé, minutieux qui parvient à me transporter en ces lieux terrifiants que j’aime pouvoir sillonner, le temps d’une visite sans conséquence, j’avoue avoir du mal à ne pas partager mon ressenti… mon humble avis…

𝑬𝒏 𝒄𝒆𝒕𝒕𝒆 𝒑é𝒓𝒊𝒐𝒅𝒆 𝒅𝒊𝒇𝒇𝒊𝒄𝒊𝒍𝒆, 𝑴𝒂𝒎𝒂 𝑭𝒊𝒏𝒈𝒆𝒓 𝒑𝒆𝒖𝒕 𝒃𝒐𝒖𝒍𝒆𝒗𝒆𝒓𝒔𝒆𝒓, 𝒔𝒊 𝒗𝒐𝒖𝒔 𝒗𝒐𝒖𝒔 𝒍𝒂𝒊𝒔𝒔𝒆𝒛 𝒇𝒂𝒊𝒓𝒆, 𝒗𝒐𝒕𝒓𝒆 𝒑𝒆𝒓𝒔𝒑𝒆𝒄𝒕𝒊𝒗𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒗𝒊𝒆 𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒗𝒐𝒔 𝒑𝒓𝒊𝒐𝒓𝒊𝒕é𝒔. À 𝒗𝒐𝒖𝒔 𝒅𝒆 𝒗𝒐𝒊𝒓 𝒔𝒊 𝒄𝒆𝒍𝒂 𝒗𝒐𝒖𝒔 𝒕𝒆𝒏𝒕𝒆. 𝑬𝒕 𝒔𝒊 𝒄’𝒆𝒔𝒕 𝒍𝒆 𝒄𝒂𝒔, 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒆𝒏 𝒔𝒂𝒗𝒐𝒊𝒓 𝒑𝒍𝒖𝒔, 𝒄’𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒂𝒓 𝒍à : ➡️ https://amzn.to/2WB9Xck

Bonne découverte!


Mama Finger – Wendall Utroi

Présentation

(copiée sur Amazon)

« 1936, au sud de la Louisiane. Qui est Mama Finger ? Une guérisseuse pour certains, une sorcière pour d’autres. Cette dame noire sans âge coule des jours paisibles dans une cabane au cœur du bayou. Quand les époux Larive, qui vivent non loin de là, travaillent, mama s’occupe de leur fils de 9 ans, lui fait découvrir un monde captivant. Mais, dans l’ombre des Noirs américains, le bruit des chaînes résonne encore. Est-il bon de parler aux esprits, là où règne la folie des Blancs, la ségrégation et les fantômes du Ku Klux Klan ?

Une histoire puissante, tragique et envoûtante, qui vous mènera là où jamais vous n’auriez cru aller ! »

Extraits



« L’enfant récupéra le beignet du bout des doigts et mordit dedans avec avidité. Il mâcha à peine, avala, mordit encore, sans jamais quitter des yeux celle qui lui offrait sa main, mais l’effrayait tout autant : une femme blanche.

Les Blancs, ça n’était pas bon par essence, ça se trouvait meilleur que les autres, surtout que les nègres, ça n’était pas gentil. Les Blancs, ça pensait avoir le pouvoir de vie ou de mort, ça sentait l’artificiel, le faux-semblant, les sourires de circonstance. Ça n’avait pas de cœur, pas de limite, pas d’âme, pas de pitié. Les Blancs, ça avait toujours raison, ça colonisait, ça croyait en Dieu pour mieux se faire pardonner. Et puis, ça frappait, ça cognait, ça insultait et crachait son dégoût à s’en briser les phalanges et la voix.

Mais cette dame, là, juste devant lui, elle semblait différente : un regard tendre, un sourire timide, une main qui tremblait.

— Je m’appelle Madeline et toi ? »

Mon petit doigt insiste… Je précise que l’auteur est européen.


« Il était des douleurs qui se taisaient, se terraient dans les abysses de l’oubli, attendant de mordre à nouveau. Murènes aux dents acérées qui jaillissaient de nulle part et décapitaient l’instant, pour vous emporter vers les tourments du passé. »



Pour le découvrir…



AUTRES ARTICLES DU BLOG

Chargement en cours…

Un problème est survenu. Veuillez actualiser la page et/ou essayer à nouveau.

Votre commentaire

Choisissez une méthode de connexion pour poster votre commentaire:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.